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L’Afrique, qui n’est pas responsable de l’aggravation du changement climatique, doit être entendue lors de la prochaine Conférence des Nations unies sur les changements climatiques le 31 octobre à Glasgow, a déclaré vendredi le ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra.
"Les pays africains sont les plus vulnérables au risque croissant de catastrophes et d’événements climatiques extrêmes. L’Afrique, qui n’est pas responsable de l’aggravation des changements climatiques, doit être entendue lors de la prochaine Conférence des Nations unies sur les changements climatiques", a déclaré M. Lamamra.
"L’Algérie a souffert des effets dévastateurs de ces catastrophes, notamment des tremblements de terre, des inondations et des incendies de forêt", a souligné le ministre. Il a également noté "la nécessité de développer une approche continentale et une solution africaine commune pour contrer les conséquences négatives des catastrophes naturelles pour les pays et les peuples du continent".
La conférence sur le climat COP26, d’une durée de deux semaines, débutera à Glasgow, au Royaume-Uni, le 1er novembre. Elle devait avoir lieu l’année dernière, mais elle a été reportée d’un an en raison de la pandémie de Covid-19. Environ 20.000 personnes, dont des chefs d’État et de gouvernement de plus de 120 pays, participeront à la conférence de Glasgow. Ils devraient parler de l’augmentation des engagements des pays pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre.
Source : TASS
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