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Face aux défis économiques et sociaux du monde actuel, les principes de l’économie de l’être se révèlent comme une réponse adéquate. Au nombre de 10, ils reposent sur la valorisation de l’individu et la préservation de l’environnement.
Dans un monde en pleine mutation et confronté à de nombreux défis, qu’ils soient économiques, environnementaux, ou sociaux, les 10 principes de l’économie de l’être demeurent la solution efficace. Pour les partisans de cette approche, il s’agit « d’un cadre novateur pour repenser notre manière de vivre et de prospérer ensemble ». Ces principes selon les partisans, offrent un nouvel horizon d’espoir en mettant non seulement l’Être au centre des préoccupations économiques, mais aussi, rappellent l’importance de privilégier la qualité de vie sur la simple accumulation de richesses matérielles. Ils constituent pour eux, « un appel à réévaluer nos priorités et à construire un avenir où chaque individu, quelle que soit sa situation, peut contribuer pleinement à la société ». A cet effet, le temps est un facteur très important. Le valoriser selon les partisans de l’économie de l’être, consiste à « reconnaître le travail comme moyen d’émancipation économique ».
Considérés comme « un chemin vers un avenir plus juste et plus durable », les principes de l’économie de l’être peuvent aider à transformer les économies pour qu’elles servent véritablement le bien-être de tous, aujourd’hui et pour les générations futures.
Ces principes développés par Martial KPOCHAN reposent entre autres sur le travail, l’éducation et la santé, la loyauté au devoir, l’engagement et la participation civique, la dynamisation de l’économie locale, la souveraineté alimentaire, et la promotion de la justice équitable.