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Dans le but de toucher du doigt les difficultés auxquelles les formations sanitaires sont confrontées, une délégation parlementaire était, samedi 18 janvier dernier, à Parakou, où elle a visité l’Hôpital d’instruction des armées (Hia) et le Centre hospitalier et universitaire départemental (Chud) du Borgou.
Comment sont gérées les formations sanitaires ? Quelles sont les difficultés auxquelles elles sont confrontées ? Telles sont les inquiétudes qui ont conduit les parlementaires dans quelques centres dans le Borgou. Cette mission vise à permettre à l’Assemblée nationale d’interpeller, au besoin, le gouvernement pour des actions urgentes en faveur des populations. Ils étaient six députés à se rendre à l’Hôpital d’instruction des armées (Hia) et au Centre hospitalier et universitaire départemental (Chud) du Borgou, à Parakou.
« J’ai vu à travers les uns et les autres, quel que soit leur statut, une certaine fierté dans le travail qu’ils font », a déclaré la première vice-présidente de l’Assemblée nationale. « Nous n’écoutons pas pour oublier. Nous écoutons pour interpeller. C’est notre rôle », a ajouté l’Honorable Mariam Chabi Talata Zimé.
Le Directeur de l’Hôpital d’instruction des armées (Hia), lieutenant-colonel Roger Kinkpézo, a expliqué que l’HIA n’a rien de différent en ce qui concerne son fonctionnement et son organisation par rapport aux autres hôpitaux militaires du Bénin. Il priorise la rigueur, la discipline de tous les instants, la disponibilité permanente, la discrétion et la courtoisie du personnel. Le respect du secret professionnel et la sécurité des malades sont indispensables selon lui au niveau de l’HIA.
G. A.
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