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Plusieurs jours après le bilan des cent premiers jours d’exercice du conseil communal d’Abomey-Calavi, des appréciations n’ont de cesse de croître au sujet de la gouvernance du Maire Angelo Evariste Ahouandjinou.
Cette fois-ci, des lauriers lui sont dressés par un opposant au régime en place. Invité de l’émission Actu Matin de la chaine de télévision Canal 3 ce mardi, le conseiller Alfred Dohou des Forces Cauris pour un Bénin Emergent, parti d’opposition, a reconnu le mérite du Maire Ahouandjinou dont la gestion est satisfaisante à ses yeux. Reconnaissant qu’aucune œuvre humaine n’est parfaite, Alfred Dohou voit néanmoins dans la gestion du Maire d’Abomey-Calavi, un faisceau de réussite et de succès à mettre à son actif dans sa détermination inébranlable à travailler à l’amélioration des conditions de vie de ses mandants « Il est réceptif, il reçoit correctement et puis pour le moment, s’il pouvait continuer comme cela ça serait bien » a enclenché le conseiller Dohou.
Rapporteur de la commission de l’énergie et de l’eau au sein du conseil communal d’Abomey-Calavi, le conseiller Alfred Dohou participe activement en dépit de sa coloration politique, à l’animation de ladite commission. Il contribue efficacement à l’élaboration puis au suivi de la mise en œuvre de tous les projets et programmes relatifs au renforcement de l’accès en eau potable des populations de la commune d’Abomey-Calavi. Ce qui séduit davantage le Conseiller Alfred Dohou dans la gestion du Maire Angelo Evariste Ahouandjinou est son sens de collégialité. En effet, souligne Alfred Dohou, « chaque lundi après la cérémonie des couleurs à la salle de conférences, on se voit et se parle. On lui parle comme conseiller, puisque là on ne le voit pas comme un Maire même si c’est lui qui est le président de séance, on lui dit tout ce que nous pensons. Et il est surtout réceptif » conclut le conseiller Alfred Dohou qui salue le pragmatisme du Maire Angelo Evariste Ahouandjinou dont les nombreuses actions de développement pour la commune d’Abomey-Calavi en seulement cent jours de gestion a convaincu tout le monde.
Paul Tonon