1358 visites en ce moment
Le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Eléonore Yayi Ladékan au cours d’une émission spéciale sur la télévision nationale dans la soirée de ce lundi 30 décembre 219, a fait le point des réformes entreprises dans le sous-secteur de l’enseignement supérieur, trois ans après le lancement du Programme d’actions du gouvernement (PAG).
Les réformes dans ce sous-secteur, selon le ministre de l’enseignement supérieur, tournent autour de 04 grands programmes. Elle a cité entre autres, la gouvernance, la qualité, la recherche et la vie de l’étudiant.
Pour ce qui concerne la gouvernance, Eléonore Yayi Landékan a évoqué la réforme sur l’enseignement supérieur à travers la mise en place du CNE (Conseil national de l’éducation).
La réforme autour de la qualité quant à elle, a conduit à la mise en place de l’Agence pour l’assurance qualité, et la ‘’Bakes’’ qui est aussi en cours, a-t-elle expliqué. Dans le secteur de la recherche, poursuit le ministre, il y a la réforme autour de l’ABE. Cette structure, à l’en croire, est l’agence de la recherche pour l’innovation. A ce niveau, la vision du gouvernement est de capitaliser tout ce qui se fait de façon éparse dans les structures de recherche et d’en faire un boom pour le développement, a précisé le ministre.
L’enseignement supérieur selon Eléonore Yayi Ladékan « fait partie des ministères qui ont une place stratégique et sensible dans le PAG » en ce sens qu’il consiste à agir sur l’homme. Pour cela, il faut donner à l’homme tout ce qu’il lui faut pour que de façon responsable, il porte ces réformes, a-t-elle souligné.
Pour ce qui concerne la vie de l’étudiant, les réformes ont été engagées afin de permettre aux apprenants de pouvoir participer à la vie politique, et la vie économique, a indiqué le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. A ce sujet, des réformes engagées concernent la sélection des nouveaux bacheliers, la gestion de leurs bourses, la réforme sur les organisations estudiantines afin de les rendre plus responsable, a confié le nº1 de l’enseignement supérieur. Elle n’a pas manqué de souligner la réforme autour des heures supplémentaires, les écoles doctorales et autres.
Pour Eléonore Yayi Ladékan, toutes ces réformes ont été entreprises pour booster l’économie, rendre l’homme un peu plus responsable, pour donner un peu de sens et beaucoup de considération à ce qui se fait dans le domaine de l’enseignement.
F. A. A.
www.24haubenin.bj ; L'information en temps réel