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Le Directeur général des infrastructures Jacques Ayadji était le 14 mai 2018 sur l’ancien pont de Cotonou pour constater l’état de cette infrastructure routière.
L’état de dégradation avancée de l’ancien pont de Cotonou inquiète les usagers et les riverains. Par une alerte sur les réseaux sociaux, les populations se sont rendues compte de la réalité sur l’état de ce pont mis en service en 1928 et réhabilité pour la première fois en 1980. Une situation qui ne laisse guère indifférents les autorités en charge des infrastructures. Une délégation de la Direction générale des infrastructures s’est rendue sur les lieux pour constater la réalité des faits. Le Directeur général des Infrastructures, Jacques Ayadji, après ses constats, assure qu’il y a plus de peur que de mal. Selon lui, « s’il y avait vraiment matière à fermer cet ouvrage à la circulation, nous l’aurions déjà fait ». Néanmoins, Jacques Ayadji rassure que les mesures sont entrain d’être prises pour réfectionner l’ouvrage au plus tôt. « Nous avons posé le problème et nous avons été autorisés à avancer sur le dossier. Aujourd’hui, nous sommes bien avancés dans une procédure de recrutement d’un cabinet pour nous faire l’inspection détaillée de cet ouvrage », a-t-il souligné. Le directeur des infrastructures a précisé que ‹‹la demande de proposition pour mettre en compétition ces cabinets est également avancée et d’ici à là nous allons recruter ce cabinet pour nous dire exactement ce qu’il faut faire au niveau de cet ouvrage que nous voyons manifestement en ruine ».
Le gouvernement de la Rupture est conscient de la situation et prend toutes les dispositions à résoudre le problème au plus tôt. Jacques Ayadji informe que les gros porteurs sont désormais interdits de prendre ce tronçon.
G. A.