(Par Roger Gbégnonvi)
L’opération, on le sait, consiste à disséquer le cadavre pour savoir pourquoi cadavre il y a afin d’éviter, si possible, qu’il n’y ait plus cadavre à l’avenir dans les mêmes conditions, à moins que ce ne soit pour aider les étudiants en médecine ou le tribunal face à un meurtre. L’autopsie de notre Parlement s’est invitée au débat le 16 mars 2019 quand un habitué de ce lieu a portraituré - propos de table - nos représentants qu’il connaît bien : ‘‘Ils sont (...)
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23 mars 2019 par Judicaël ZOHOUN