Par Thomas Suru Cofi
Qu’il me soit permis d’introduire ce bref regard sur les péripéties des élections législatives béninoises du 28 Avril 2019 avec un clin d’œil à ces mots empruntés au roman « les misérables » où le personnage Gavroche chantait : « Je suis tombé par terre c’est la faute à Voltaire, le nez dans le ruisseau c’est la faute à Rousseau ». Si le Bénin n’est pas tombé par terre pour ainsi dire, il trébuche quelque peu en ce moment et tous ensemble nous devons rechercher les (…)
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3 mai 2019 par Judicaël ZOHOUN