(Par Roger Gbégnonvi)
Dans l’histoire des hommes et des âmes, il est deux endroits où la paix règne en permanence : le paradis où ça ne peut pas être mieux, et l’enfer où ça ne peut pas être pire. De part et d’autre une stabilité désirable. Il se trouve que depuis des lustres, le Bénin, dans sa partie dahoméenne, a opté, dès ici-bas, pour la paix d’enfer. En voici la preuve par trois.
1- ‘‘Lorsque le roi du Danxomè, Hwegbaja, a envoyé son fils au marché, il ne lui a pas demandé de (…)
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2 mars 2019 par Judicaël ZOHOUN