(Par Roger Gbégnonvi)
En vérité, il s’agit de tout prêtre d’Afrique francophone incardiné en France, c’est-à-dire devenu membre à part entière du clergé français, sous la juridiction de l’évêque français de son diocèse, dans cette France dont les « prêtres meurent et ne sont pas remplacés », où « le nombre de catholiques ‘‘pratiquants réguliers’’ est devenu marginal (entre 2 et 4% aujourd’hui [2018], contre 25% en 1960). » Mais de focaliser sur le Bénin permet d’illustrer le paradoxe (…)
Lire l'intégralité de l'article
www.24haubenin.info ; L'information en temps réel
28 septembre 2019 par Judicaël ZOHOUN