(Par Roger Gbégnonvi)
L’expérience vécue – et non subie – atteste que les Béninois chérissent la vindicte. Soit populaire et hurlante. Soit singulière et silencieuse. La populaire concerne moto ou mouton perdus, et aperçus en possession d’un quidam. On se saisit de lui à grands cris de ‘‘au voleur !’’ Il n’est peut-être qu’un receleur ignorant de son statut. Tu parles ! Collier de vieux pneus. Carafe d’essence. Allumette craquée. Le coupable désigné part en flammes en hurlant qu’il est (…)
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4 août 2018 par Judicaël ZOHOUN