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A la Direction des examens et Concours, la directrice, les inspecteurs et les conseillers pédagogiques en charge de l’organisation du BEPC ne parlent plus le même langage. Alors que ces derniers ont prévu racheter les candidats jusqu’au seuil de 7,75 de moyenne, la directrice s’y oppose fermement intimant l’ordre de racheter jusqu’à 7 de moyenne. Ce qui n’est pas du goût des techniciens en la matière. Ces derniers dénoncent une promotion de la médiocrité dans le système éducatif béninois.
A suivre
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