La maire de la commune de Pobè, Paul Fakorédé Odjo, a procédé ce mercredi 30 mars, à la remise respective des kits scolaires, de matériel d’hospitalisation et des fauteuils roulant aux apprenants des centres de programme de cours accéléré (PCA), aux responsables de l’hôpital de zone de Pobè et à l’association des personnes handicapées de la commune, grâce aux appuis de l’UNICEF, en présence des membres du conseil communal et des parents et amis des bénéficiaires.

28 lits électriques, un fauteuil roulant de prélèvement et un lit de consultation à l’endroit des formations sanitaires de la commune, 12 fauteuils roulants et un ballon de basket à l’association des personnes handicapées et des kits scolaires composés de sacs, crayons, bics, cahiers et autres aux apprenants des centres PCA, sont entre autres dons de l’UNICEF à l’endroit de la commune de Pobè, remis officiellement aux bénéficiaires.

Selon le maire Paul Fakorédé Odjo, c’est à travers la coopération décentralisée que la commune a bénéficié de ses différents équipements pour l’amélioration des conditions de traitement et d’hospitalisation des malades dans les formations sanitaires d’une part, et d’amener les personne handicapés de la commune à pratiquer le handisport et de booter considérablement le taux de scolarisation des enfants de la commune d’autre part en ce qui concerne la mise en œuvre du programme de cours accéléré (PCA). A l’en croire, c’est depuis 2012 que l’UNICEF appuis les deux centre du PCA de la commune pour la mise en œuvre effective dudit programme au profit des adolescents déscolarisés ou non, et âgés de 10 à 17 ans afin de les permettre d’obtenir leur certificat d’étude primaire (CEP) en trois ans après leurs inscriptions.

Après la remise officielle et symbolique des équipements, les représentants des différents bénéficiaires ont promis en faire un usage judicieux et ont souhaité que la commune leur viennent en aide davantage. Pour sa part, la représentante du directeur de l’hôpital de zone de Pobè, Dr Rolande Quenum, pense que c’est un chapelet de doléance qui s’égrène et invite la première autorité communale à une attention particulière aux formations sanitaires afin de réserver des soins de qualité aux populations.