Acte 2 : Une vie politique accomplie dépréciée par la France
Sylvanus Olympio avait un penchant à peine voilé au système anglo-saxon. Cette anglophilie préoccupait vraiment le pouvoir français qui lui préfère son challenger Nicolas Grunitzky, leader du Parti togolais du progrès, plus proche de l’administration coloniale française, qui le désigna chef du gouvernement togolais en septembre 1956 jusqu’aux élections d’avril 1958.
Pendant ce temps, Sylvanus Olympio était mis aux arrêts par (...)
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28 septembre 2020 par Ignace B. Fanou