J’arrivais à peine au passage à niveau de Houéyiho lorsque mon téléphone sonna. Cotonou n’avait pas encore ces passages supérieurs, et le petit carrefour qui faisait corps avec le passage à niveau était un point de grande congestion de la circulation urbaine. Je jetai un coup d’oeil distrait sur le bout d’écran du téléphone. C’était Yayi. Au vu de la discussion que nous venions d’avoir à Cadjèhoun, je savais que cet entretien téléphonique serait long. J’avais, là aussi, une occasion de (...)
Lire l'intégralité de l'article
www.24haubenin.info ; L'information en temps réel
25 juin 2018 par Judicaël ZOHOUN