Je repense à cette sensation indescriptible que l’on éprouve lorsque l’on rentre dans Cotonou après avoir parcouru, en si peu de jours, tout ce que le Bénin profond a de divers et variés. On se rend compte alors, en voyant cette circulation de plus en plus dense, à l’entrée de Calavi, en voyant ensuite Cotonou dans son train-train habituel, dans cette indifférence involontaire qu’il semble afficher vis-à-vis de vous, comme si vous aviez toujours été là, on se rend compte de cette étrange (...)
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18 juin 2018 par Judicaël ZOHOUN