Nous finîmes par atteindre Bassila au crépuscule tombant. Sur le chemin, nous dûmes, comme à Gouka, marquer un arrêt imprévu à Pira où les populations, amassées au milieu de la chaussée, nous obligèrent à improviser un meeting sommaire.
Notre entrée dans Bassila sembla ressusciter de façon soudaine, une foule qui, lassée de nous attendre depuis 11 heures, s’était assoupie et démobilisée. Ahmed Akobi, Soumanou Toléba et Wallis Zoumarou étaient à l’accueil.
Depuis le départ de Abdoulaye (...)
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16 mai 2018 par Judicaël ZOHOUN