Je ne sais plus exactement d’où nous revenions. Mais ce soir-là, nous étions rentrés assez tard à Tchaourou. Nous étions en 2003 et la bourgade n’était pas encore couverte par les réseaux GSM.
Avant donc d’y entrer, il fallait passer la totalité de ses appels téléphoniques, au risque de devoir retourner le faire jusqu’à Parakou. Le réseau téléphonique filaire était inopérant à cause des nombreux vols de câble qui créaient de la discontinuité entre Parakou et Tchaourou. Je connaissais (...)
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15 mars 2018 par Judicaël ZOHOUN