(Par Roger Gbégnonvi)
Seigneur Jésus, toi dont la parole me séduit, toi que nous chantons et dansons partout dans mon pays, je viens à toi en ce moment où mon Bénin, ton pays, est grêlé de grèves par lesquelles nous refusons la traversée du désert, gage du progrès des peuples.
Je viens à toi, et je te remercie d’abord pour la multitude de Béninois, mes frères et mes sœurs, qui, n’ayant pas de contrat de travail avec l’Etat, travaillent et ne s’arrêtent pas. Artisans, paysans, (...)
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10 mars 2018 par Judicaël ZOHOUN