Lorsque j’arrivai à Cadjehoun, Yayi était là, assis sur sa petite véranda. Il m’avait l’air un peu amaigri et fatigué, mais paraissait d’humeur normale. "Tiburce, fit-il dès que j’entrai dans la maison, tu n’es pas allé à la CENA avec eux ?". Je lui expliquai que j’étais resté au siège de campagne après le départ de la délégation. Il m’invita à m’asseoir sur l’une des chaises blanches en plastique que Ibrahim le gardien avait disposées sur la véranda. Yayi, comme d’habitude, voulait avoir (...)
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19 février 2018 par Judicaël ZOHOUN