(Par Roger Gbégnonvi)
En 2004, dans son ouvrage ‘‘Le mal transhumant’’, un journaliste béninois bon teint avait révélé que le parlement béninois était un supermarché climatisé, sans foi ni loi, où des enfoirés se vendent eux-mêmes aux enchères, joyeusement. Echantillons : ‘‘J’ai reçu 10 millions pour voter contre la loi électorale.’’- ‘‘On m’avait proposé 11 millions de francs CFA pour voter la loi sur l’avancement au mérite. J’ai refusé.’’ Quoi ? Enchères pas assez chères ?
Il se (...)
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16 décembre 2017 par Judicaël ZOHOUN