(Par Roger Gbégnonvi)
Fin juin 2017. Elle a pris rendez-vous. Elle est venue. Commerçante. La soixantaine. Professeur, je suis venue te déranger pour ma benjamine. Tu le sais, j’ai de quoi les nourrir, elle et son petit Lionel, mon ange de petit-fils. Mais Karine s’ennuie à ne rien faire. Elle se morfond tous les jours. Je souffre de la voir dépérir depuis que l’entreprise où elle travaillait a fait faillite. Je viens pour elle. Elle est prête à faire n’importe quoi pour sortir de la (...)
Lire l'intégralité de l'article
www.24haubenin.info ; L'information en temps réel
10 juillet 2017 par Judicaël ZOHOUN