1383 visiteurs en ce moment
Le chef de l’État met en place la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme. Cette option vient afficher la détermination du président Patrice Talon à combattre la corruption sans parti pris.
Ayant déclaré sa ferme conviction de transformer le Bénin, le chef de l’État, lors de son discours d’investiture a mis l’accent sur la lutte contre la corruption. Une lutte qu’il s’engage à faire avec fermeté et détermination. La seule chose capable de redonner au peuple béninois toute confiance envers ses dirigeants surtout au sommet de l’État. Depuis quelques mois, l’effectivité de cette lutte résonne partout dans le pays et même au-delà des frontières nationales. Le pays devient du coup visé par des personnalités qui ne cachent pas leur satisfaction par rapport à cette vision du président de la République.
Une fois de plus cette lutte s’est renforcée avec la mise en place de la CRIET. Le chef de l’État affiche ainsi sa volonté de combattre la corruption jusqu’au dernier retranchement. À travers cette Cour et les nombreuses lois anticorruption, il faut dire que le Bénin est définitivement engagé dans la lutte contre la corruption et le terrorisme. Une juridiction qui doit désormais être une garantie pour la sécurité des biens publics et des personnes. C’est aussi dans cette même visée, et conformément à la loi portant organisation judiciaire, que le gouvernment de Patrice Talon a nommé les magistrats devant siéger à la CRIET.
Désormais, les réformes institutionnelles de Patrice Talon avancent à grands pas.
Giscard AMOUSSOU