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Cinglant désaveu pour Adrien Houngbédji et son acolyte de circonstance Léhady Soglo.Leurs formations politiques qu’ils ont vendu aux plus offrants, ont été balayé par le tsunami de la rupture ! Dans le combat pour les présidentielles, nos deux « leaders » qui rêvaient être des acteurs de l’Histoire, sont désormais relégués au rang de simples spectateurs. Adrien Houngbédji qui voulait « faire le K.o », doit désormais assumer les risques évidents de chaos, au sein de sa formation politique. Apparemment, nul ne peut échapper à son destin. Et cet homme a un destin d’opposant. Son ultime projet politique, c’était d’arrimer son P.r.d, à la barque du gagnant, histoire d’aller goûter aux délices du pouvoir. Le voilà gros jean comme devant. Opposant il demeurera. Mieux, il aura finalement inoculé sa légendaire poisse, à ses nouveaux alliés. Chapeau à Yayi Boni, pour avoir pu révéler aux béninois ayant longtemps crû en lui, le vrai visage de cet homme. Quant à Léhady Soglo, il devrait désormais décompter le nombre de jours de survie, de la formation politique qu’il a reçue en héritage. La Renaissance du Bénin a été laminée dans tous ses fiefs traditionnels et même au-delà. Désormais réduite à sa plus simple expression, ce parti politique n’a pratiquement plus d’issue de secours. Sous d’autres cieux, Adrien Houngbédji et Léhady Soglo, auraient tout simplement déposé le tablier. Ils ont joué et ils ont perdu ; ils en tirent les conséquences. Mais hélas sous nos cieux, ils savent que le ridicule ne tue point. Ne soyons donc pas surpris, si toute honte bue, ils essayent de s’accrocher autant que faire se peut, à des radeaux de sauvetages. Il n’est même pas exclu, qu’ils ravalent goulûment leurs propres vomissures ! Oubliant que la grosse tempête qui s’annonce à l’horizon, ne leur laissera aucune chance. Adrien Houngbédji et Léhady Soglo : deux noms à inscrire en lettre d’infamie, dans les caniveaux de notre histoire nationale ! C ‘est le seul panthéon digne de les accueillir. Il appartiendra désormais aux hommes et femmes qui a un moment ou un autre, ont cru en eux, de ne point perdre espoir. Demain il fera beau. Le peuple dans son immense majorité a fait le choix de la rupture. Rupture par rapport aux vols et aux viols, aux pillages et à la gabegie, aux concours frauduleux et au régionalisme, bref à la mauvaise gouvernance sous toutes ses formes. Et cet élan populaire, emportera à coup sûr les dernières illusions du candidat « venu de France », pour aider Yayi Boni, à noyer le poisson. Visiblement la ficelle était trop grosse… Pour paraphraser, une phrase restée célèbre chez nous, depuis un certain discours-programme, « il s’agira de liquider définitivement l’ancienne politique, à travers les hommes, les structures et l’idéologie qui la porte »Les hommes ici sont connus ;leurs structures budgétivores juste conçues pour caser les zélateurs, le sont tout autant ; que dire alors de leur idéologie insipide, qui va du culte ubuesque de la personnalité, aux messes grotesques de soutiens, en passant par le populisme de bas étage, les promesses sans lendemains, les poses de premières pierres sans études ni financement…Voilà l’amère pilule qu’ont tenté de nous faire avaler Adrien et Léhady, par le biais d’une alliance à « trois têtes ».Le monstre a été décapité par les électeurs. Sa dépouille sera exposée au public le 6 Avril prochain…Entrée libre et gratuite.
Tafê