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Ayant pris le pouvoir le 6 avril 2018, Patrice Talon a promis un Bénin révélé. Ainsi à travers un programme d’actions bien établi avec un chronogramme bien défini, l’homme de la Rupture fait son petit bonhomme de chemin. Mais c’est sans compter avec les ennemis de la République. Confiant qu’il pose des actes de développement, Patrice Talon fonce droit sans faire attention aux incohérences nourris par les opposants sur sa gouvernance.
On se rend compte que les gens l’accusent de tous les maux qui méritent une attention particulière si elles sont vraies et constructives. Malheuresement ce n’est que pour relentir ses actions nobles. Mais ce qui est bien pour le pays, le chef de l’État l’a su très tôt et il ne fléchit pas. Patrice Talon reste ferme dans son programme et son chronogramme. On constate au moins avec une grandiose joie qu’il a réglé le problème de la grève. Un phénomène antidéveloppement ancré dans les mœurs notamment des agents de l’État. Aujourd’hui, le chef de l’État par sa volonté de voir décoler le pays l’a su gérer avec diplomatie. L’autre problème auquel il a trouvé solution réside dans les réformes au service des impôts. Lesdites réformes empêchent les hommes d’affaires de déclarer des chiffres fantaisistes. L’obligation est faite désormais à toutes les entreprises de se conformer à la loi. Du coup, l’État se servira des ressources pour la réalisation des projets de développement. La déclaration de faux chiffres ne profitait qu’à quelques-uns qui s’enrichissent sur le dos du contribuable. Plus de manigance et tout sera bientôt clair en matière de déclaration. La fin des primes exorbitants et autres frais de mission constituent pour le chef de l’État des ressources supplémentaires pour le pays. Ce qui n’est pas du goût des ennemis de la République qui se lancent dans des invectives nocives. Aussi, note-t-on les rançonnements sur les routes qui ont drastiquement diminué. Chacun fait donc son travail dans les normes. La plus grande des luttes réussies, qui constitue une avancée notable pour la protection des populations est celui des médicaments de la contrebande. Il faut noter aussi que le médecin qui travaille dans le public ne peut plus exercer en clientèle privée. Ce sont des actes notables qui permettent la réorganisation d’un pays où le minimum de norme est bafouée. Depuis que le chef de l’État a engagé une lutte sans merci contre la corruption, les mêmes vautours financiers nourrissent une haine atroce contre le premier magistrat comme étant une lutte ciblée. Néanmoins, les voix les plus autorisées saluent la méthode de gestion. C’est le cas des institutions de Bretons Woods qui apprécient et félicitent la gouvernance.
La reconstruction de l’édifice
Sur d’autres plans, il faut reconnaître que le gouvernement n’est pas spécialiste de pose de premières pierres mais plutôt, agit de manière subséquente. Pour preuve, les grands travaux dont le projet Asphaltage qui au moins ont pris corps dans certaines villes et ne sont qu’à la première phase. La production record du coton pour booster l’économie nationale constitue un point fort pour le pays en matière de productivité agricole et un plus pour l’économie nationale. L’accès à l’eau potable devient dans les zones reculées une réalité avec des extensions en vue pour l’atteinte d’une couverture totale du pays.
Le domaine énergétique n’est plus à conter puisque le délestage laisse place à la disponibilité continue du courant. La résurrection de la centrale de Maria Gléta est désormais réalité pour la joie d’abord des riverains qui auront la paix avec des détonnations inquiétantes et une joie pour les bénéficiaires de cette infrastructure que sont les populations. La recherche de financement pour d’autres projets ne laisse pas le chef de l’État indifférent des problèmes du peuple. L’instauration des cantines scolaires pour soulager les parents dans certains localités qui n’arrivent pas à assurer le maintien à l’école des enfants par manque de nourriture. Le projet Arch vient donner plus de soulagement aux cas sociaux. Pour ne seraient-ce que ces actions, il est important que le chef de l’État ait l’adhésion de tous. Comment ne peut on pas encourager le président tout en lui formulant des critiques constructives afin de lui permettre d’améliorer sa gestion. Si aujourd’hui l’opposition notamment les anciens dirigeants sont prêts à détruire ce qui est en construction, c’est juste pour montrer qu’elle existe puisqu’elle avaient contribué à la désorganisation de beaucoup de choses. Talon a besoin des critiques de développement et non des invectives nocives pour le progrès national.
Giscard AMOUSSOU