Les gendarmes se sont portés mardi dans le village de Gbokpago (Ouinhi), sur la scène de crime où un bouvier peulh transhumant nigérian a été tué par des individus non encore identifiés depuis le 20 février, pour l’inhumation du cadavre fortement décomposé. La tension née des heurts sanglants qui ont suivi l’assassinat du bouvier transhumant ont retardé son inhumation. Le 20 février, en présence des gendarmes, a raconté le commandant de la compagnie de gendarmerie d’Abomey, des peulhs en (...)
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5 mars 2015 par Judicaël ZOHOUN