La montée du grand banditisme auquel le régime défunt était confronté, avait obligé le gouvernement de l’ancien président Boni Yayi à décréter l’immatriculation obligatoire des engins à deux et à trois roues. La mise en application de cette décision avait bénéficié d’une assistance sociale alors que les services techniques du ministère du transport chargés de confectionner les plaques étaient incapables de satisfaire la demande. L’augmentation des frais d’immatriculation, crée déjà des (...)
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25 février 2017 par La Rédaction