(Par Roger Gbégnonvi)
Un mal fatal, c’est celui qui n’est pas soigné parce que ses symptômes n’ont pas été perçus à temps. Quand il devient évident, il est trop tard, et le patient, qui ignorait son mal, est emporté. ‘‘En ces jours qui précédèrent le déluge, on mangeait et on buvait, on prenait femme et mari…’’ (Mat., 24/38). Le mal qui pourrait, non pas emporter le Bénin, mais en faire un entrepôt de ‘‘morts encore un peu vivants’’, c’est la médiocrité que les Béninois cultivent (...)
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25 juin 2016 par Judicaël ZOHOUN