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Dans un entretien avec la presse Zul-Kifl Olayinka Salami candidat au premier tour explique les raisons de son choix pour le second tour. Naturellement ce choix, c’est la Coalition de Rupture. En effet après le dépôt de sa candidature à la CENA, ZKS a donné une brève conférence de presse. A la question relative à la motivation profonde de sa candidature, sa réponse a été péremptoire et sans appel : Je veux sauver le Bénin. Et précisément le sauvetage du Bénin s’inscrit parfaitement dans l’épure des objectifs de Rupture prônés par le candidat Patrice Talon et endossés par la Coalition pour la Rupture.
Premièrement sauver le Bénin c’est d’abord rompre définitivement avec le Leadership improductif et hors norme. ZKS a longtemps enseigné le leadership en Europe et en Afrique en coopération avec des sociétés américaines partenaires. Mieux, il l’a pratiqué activement dans les hautes fonctions qu’il a exercées tant au Bénin qu’à l’international. Il rappelle à loisir que le leader dirige en montrant l’exemple : exemple de justice, d’équité, de compétence, d’abnégation etc. Or Dieu sait qu’au Bénin nous sommes loin du compte.
Sauver le Bénin, c’est aussi rompre avec la mauvaise gouvernance. La gouvernance s’entend comme l’ensemble des normes et pratiques qui régissent la conduite des affaires de la nation.
Sur un autre registre, Sauver le Bénin ; sur un autre registre c’est rompre avec le cycle infernal de la misère et de la pauvreté. La croissance à 5% n’induit pas ipso facto le bien-être des populations. Tant s’en faut, elle doit s’accompagner d’une politique volontariste de répartition équitable de la richesse nationale. Combien de béninois s’offrent deux repas par jour et combien périssent tous les jours faute d’avoir les moyens de se soigner. Sauver le Bénin c’est rompre avec la fatalité de la misère.
Nous sommes aujourd’hui dans un pays divisé, fracturé. Sauver le Bénin c’est rompre avec les démons de la division, c’est réaliser ce qui doit être l’ultime bonheur du premier magistrat de notre pays : la construction d’une nation unitaire.
Ces quelques registres d’analyse de la situation nationale montrent à l’évidence la synergie entre Patrice Talon et ses idéaux de rupture d’une part, Zul-Kifl Salami et son cri de cœur « Je veux sauver le Bénin » d’autre part.
Enfin Sauver le Bénin, c’est rompre avec la corruption généralisée qui gangrène bon nombre de structures de l’Etat.
C’est sur la base de cette analyse sur toutes facettes de la vie nationale que son état-major a pris la ferme résolution de soutenir Patrice Talon et d’adhérer à la Coalition de Rupture.