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Zogbodomey, Zangnanado et Ouinhi sont bouclés pour le candidat Lionel Zinsou. Ces villes l’ont accueilli en grande pompe, jeudi dernier. Entre chants, slogans et danses, les militants des différents partis qui le soutiennent lui ont assuré une victoire certaine au soir du 6 mars prochain.
« Toute cette zone est Lionel Zinsou. C’est notre unique candidat. C’est notre choix », ont fait savoir en chœur les populations sous l’égide des leaders comme Gustave Sonon, Désiré Vodonou et ceux de la Renaissance du Bénin.
Plus qu’une simple campagne électorale, c’est à des séances d’échanges d’idées qu’on assiste. Lionel Zinsou a développé plusieurs volets de son projet de société face aux milliers citoyens très engagés en sa faveur.
« Nous sommes tous des frères et sœurs. Nous n’avons pas des ennemis, ni des adversaires. Nous avons juste des concurrents. Ne répondez donc pas aux provocations. Moi je ne répondrai à aucune attaque », a fait savoir le candidat aux populations venues nombreuses le rencontrer. Il les a aussi appelé à sortir pour retirer leurs cartes d’électeurs.
Le candidat Lionel Zinsou est le seul prétendant au palais de la marina qui a réellement à cœur de sortir les populations les plus démunies de la pauvreté. La preuve, il s’engage à donner un coup de force consistant aux familles les plus pauvres. A chaque famille, le gouvernement va donner chaque année 100.000 F à 100.000 familles pour les amener progressivement à sortir de la pauvreté. « Nous devons donner une deuxième chance aux familles qui n’en ont pas actuellement aucune en octroyant 100.000 F par an à 100.000 familles. Nos politiques sociales doivent atteindre tous les Béninois », a lancé Lionel Zinsou pour faire connaitre son amertume de voir une couche de la société marginalisée.
Le candidat de l’Alliance républicaine donne une grande priorité à l’emploi des jeunes. Il ne s’imagine pas que des familles aient financé les études de leurs enfants sur plusieurs années pour, à la fin, les avoir encore à leurs charges. « L’Etat doit jouer sa partition en donnant du travail aux jeunes formés. Ce n’est pas une faveur. C’est son devoir. Et c’est un droit pour les jeunes d’avoir du travail », a fait savoir le candidat.
« Le chômage des jeunes est à la fois un gaspillage pour les jeunes, leurs familles et l’Etat. Ma génération vous doit. Votre impatience est légitime. Nous avons les institutions dont il faut en augmenter les ressources. Nous devons avoir un programme national qui installe 40.000 jeunes », promet-il.
« Nous sommes tous des frères et sœurs. Nous n’avons pas des ennemis, ni des adversaires. Nous avons juste des concurrents. Ne répondez donc pas aux provocations. Moi je ne répondrai à aucune attaque », a clamé le candidat. Il les a aussi appelé à sortir pour retirer leurs cartes d’électeurs.