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Depuis le début de la semaine du 23 août 2021, il circule sur les réseaux sociaux, notamment dans les groupes whatsapp, un article faisant état de ce qu’un cadre de l’administration financière de la Compagnie Béninoise de Textile (CBT) de Lokossa serait impliqué dans un acte d’adultère qui a coûté la vie à la femme. Nous nous sommes alors permis de vérifier l’information qui, selon nos investigations, ne sont pas exactement ce qui est abondamment relayé. Le sieur Léonard Tohoun n’a jamais posé un acte d’adultère qui aura causé la mort de dame Sylvie le 20 juillet dernier.
Après avoir lu le texte qui circulait sur les réseaux sociaux, notre premier réflexe a été de vérifier la véracité des faits. Nous avons alors joint certains confrères à Lokossa qui ont confirmé qu’il y a de pareil dossier. Ensuite nous avons pris rendez-vous avec le sieur Léonard Tohoun pour avoir sa version des faits.
Le mardi 24 août 2021, il nous a reçus pour narrer les faits. Et c’est tout décontracté qu’il nous a fait part de ce qui est. ‘’Je n’ai jamais touché à dame Sophie. Je l’ai toujours assisté financièrement parce qu’elle était dans le besoin. Elle avait à charge ses enfants pendant que son mari, qui est un staffeur, vivait au Nigéria. C’est moi qui lui ai demandé de faire revenir son mari à qui j’ai confié un de mes chantiers. Tout ce que je fais à la dame, le mari était au courant alors je ne comprends pas d’où sort l’acte d’adultère commis. J’ai aidé de bon cœur comme j’aide tout le monde’’, a-t-il déclaré avant d’ajouter que même dans sa maladie, il n’a pas cessé de soutenir la dame surtout financièrement.
Selon nos recoupements, la petite sœur et le mari de la défunte sont tous étonnés de la cabale médiatique orchestrée contre la personne d’un innocent qui a fait beaucoup de biens à leur sœur et épouse de son vivant. Le mari quant à lui, par personne interposée, demande au sieur Léonard Tohoun de garder son calme et de tout confier à Dieu.
Pour le moment, mu de son entière innocence, Léonard Tohoun, Directeur Financier Adjoint de la CBT a déjà saisi l’Office Central de Répression de la Cybercriminalité (OCRC) pour que les instigateurs et acteurs du montage grossier de mensonges sur sa personne répondent de leur forfait devant la loi.
Il est donc vérifiable que, contrairement à ce qui circule sur les réseaux, aucun cas d’adultère ayant causé la mort à la dame Sophie n’a été enregistré dans l’administration de la CBT.
Cokou Romain COKOU