1112 visiteurs en ce moment
De nouvelles révélations choquent les populations sur les scandales qui accablent des leaders du Polisario dans les camps de réfugiés sahraouis de la province de Tindouf, en Algérie.
Depuis plus d’un demi siècle, les pseudo défendeurs du peuple sahraoui dans les camps de Tindouf vivent de la contrebande et autres trafics.
Certains responsables dont le ministre des affaires étrangères en poste depuis 30 ans, vivent des subventions algériennes.
Si ces dirigeants n’ont de soucis que pour leurs petites affaires, ils sont tout de même soucieux de l’avenir de leurs progénitures. Pour ces dernières, ils ne font aucune économie, que ce soit pour leurs frais de scolarité, de loisirs, pour le bon plaisir de leurs parents, quitte à détourner des aides humanitaires.
Mais il faut tout de même estimer les valeureux efforts de ces dirigeants, qui daignent vivre dans les camps de Tindouf, avec les petites gens sahraouis qu’ils doivent côtoyer quotidiennement, et les amadouer pour ne pas se rebeller, et pour lesquels ils font parfois, lorsqu’ils ont mauvaise conscience, œuvre de charité des quelques miettes pour les chiens de garde, soit disant militants.
L’argent du peuple algérien ne profite qu’à un groupuscule de dirigeants du polisario.
Mohamed Lamine Ahmed, l’un de fondateur du Front Polisario est en charge des finances de l’organisation. Il détient tous ses compte en Europe et en Algérie. Il mène des activités de blanchiment d’argent et possède de nombreux biens immobiliers.
Il a nommé son fils Boumediène Lamine Ahmed, malgré son jeune âge et son faible niveau d’instruction, diplomate à l’ambassade en Afrique du Sud. Il bénéficie de redevances du trésor public algérien et a été nommé agent militaire de l’armée du Polisario.
Quant à la gouverneure du camp de Smara, Maryam Salek Hmada, elle a bénéficié d’importantes subventions des organisations humanitaires et du trésor public algérien et possède beaucoup de biens.
Ces affaires viennent révéler le vrai visage des dirigeants du Polisario, qui profitent des subventions du trésor public algérien et de l’aide humanitaire pour s’enrichir.